Y’a-t-il des personnes qui vous amènent à vous ranger dans vos derniers retranchements? Êtes-vous confronté·e à des employé·es qui vous mettent en colère ou encore vous font sentir totalement impuissant·e? Avez-vous parfois l’impression de tolérer l’intolérable et d’accepter l’inacceptable? Comment expliquez-vous qu’une personne soit perçue comme étant difficile pour un·e gestionnaire alors qu’elle ne le sera pas pour un·e autre?  

Cette formation s’adresse à des gestionnaires ou des responsables d’équipes de travail. Elle propose d’examiner ces situations sous l’angle de la communication relationnelle. Venez réfléchir à vos déclencheurs et aux types de personnes qui vous font réagir davantage. Un atelier qui vous permet d’identifier des stratégies porteuses pour des relations plus harmonieuses en préalable à une approche disciplinaire! 

OBJECTIFS 

À la fin de cette formation, vous serez en mesure de : 

• Développer vos connaissances et vos habiletés à l’égard de la gestion des comportements difficiles 
• Aborder les stratégies d’interventions adaptées à la gestion de la situation 
• Mettre en commun les différentes stratégies appliquées, tracer un bilan des interventions auprès des personnes aux comportements difficiles et de recevoir de la rétroaction. 

THÈMES ABORDÉS 

• Les responsabilités de l’employé et de l’employeur
• La définition d’un·e employé·e aux comportements difficiles
• La gestion de l’employé·e difficile
• Les mécanismes d’intervention
• Les stratégies d’intervention (grilles d’analyse, bilan et plan d’action)

APPROCHE ET MÉTHODOLOGIE  

Afin de faciliter l’atteinte des objectifs de la formation, diverses stratégies et outils d’apprentissage seront utilisés, notamment pour faire émerger l’intelligence collective, toujours dans une perspective d’éducation populaire autonome : 

• Exercices pratiques et mises en situation 
• Exposés dynamiques sur les différents éléments fondamentaux 
• Échanges et discussions autour des activités et concepts explorés 

Le nombre de participant·es est limité à 18 (en présence ou en virtuel) pour que chacun·e puisse disposer de conditions favorables à l’échange, l’expérimentation et la systématisation de ses connaissances et expériences.